J'ai toujours aimé me promener dans les parcs les journées d'été. Quel merveilleux endroit, où les vies se croisent, où l'on aperçoit la silhouette presque effacée d'un vieillard nostalgique, où les éclats de rire des groupes d'adolescents et les cris des enfants jaillissent comme une source du flanc de sa montagne. Quel merveilleux endroit pour sentir la vie passer...
Il y a les amoureux qui rêvent d'une vie aussi paisible que leur promenade, aussi verte que la nature qui les entoure. Il y a les parents qui regardent leurs enfants s'ébahir devant un papillon. Il y a les vieilles dames en costume du dimanche, témoins d'un monde vieillot et passé, presque exotique pour nous. Il y a les tableaux paisibles de demoiselles au livre, et ces promeneurs solitaires qui se repaissent de belles images. Il y a tant de monde, une mosaïque d'inconnus, des passés différents, des avenirs à peine envisagés. Il y a l'instant présent que ce parc renferme, à l'abri du monde extérieur et de ses malheurs. Comme un havre de paix, un passage pour les voyageurs de la vie.
Il y a les amoureux qui rêvent d'une vie aussi paisible que leur promenade, aussi verte que la nature qui les entoure. Il y a les parents qui regardent leurs enfants s'ébahir devant un papillon. Il y a les vieilles dames en costume du dimanche, témoins d'un monde vieillot et passé, presque exotique pour nous. Il y a les tableaux paisibles de demoiselles au livre, et ces promeneurs solitaires qui se repaissent de belles images. Il y a tant de monde, une mosaïque d'inconnus, des passés différents, des avenirs à peine envisagés. Il y a l'instant présent que ce parc renferme, à l'abri du monde extérieur et de ses malheurs. Comme un havre de paix, un passage pour les voyageurs de la vie.