Cette impression de porter un masque qui se resserre et se resserre et m'étouffe. A l'image de cette peau de chagrin qui se réduit sauf que ma peau c'est mon chagrin, et le masque jamais ne tombe car ses racines sont beaucoup trop profondes. Je suis un peu lui et il est un peu moi, mais cela ne me dit pas ce qui dort sous cette enveloppe de sourires et de joie.
Mots décousus mots incompris parfois brûlants parfois aigris ils dansent une ronde macabre mais lorsque la musique s'arrête ils se dessèchent et disparaissent.